D'un côté : un déferlement mondial d'articles, de reportages, de commentaires, sur une fuite spermatique, ô combien fugace, d'un homme politique français très en vue !
De l'autre : une quasi absence d'informations, sur une fuite continue de radioactivité artificielle, liée à trois réacteurs nucléaires en perdition à Fukushima, et dont la gestion, ô combien durable, devait s'étendre sur des dizaines et des dizaines d'années.
Au début du XX° siècle, c'était la Belle Époque. Au début du XXI° siècle, était-ce la Bête Époque ?
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